Homophobie & Transition : Conclusion
Qu’est-ce qui ne va pas chez ces thérapeutes ? L’industrie de la santé mentale ne s’est pas illustrée dans son traitement des homosexuel·les s’identifiant comme « trans ». Qu’en est-il avec les patient·es…
Qu’est-ce qui ne va pas chez ces thérapeutes ? L’industrie de la santé mentale ne s’est pas illustrée dans son traitement des homosexuel·les s’identifiant comme « trans ». Qu’en est-il avec les patient·es…
Position n°3 : ça arrive mais ce n’est pas ma faute Norman Fisk Les défenseurs et défenseuses de la fausse trichotomie1 ont tendance à se plaindre que leurs patient·es savaient ce…
Position n°2 : ça arrive et c’est OK Les docteur·es qui transitionnent les lesbiennes Au commencement, les docteurs du genre refusaient de transitionner des femmes hétérosexuelles. Les seules qu’ils acceptaient de…
Est-ce que l’homosexualité et la transidentité sont deux catégories distinctes ? Dans cet article, Glenna Goldis continue de questionner le lien entre thérapie de genre et attirance sexuelle.
Glenna Goldis, une avocate états-unienne et militante pour la protection des personnes LGB est l’autrice de cet article. Elle a gracieusement accepté de nous laisser traduire et publier sur notre…
Qu’est-ce que l’identité de genre ? Cette notion a réussi à s’imposer dans les discours féministes et les débats publiques en quelques années. Mais, à y regarder de plus près, l’identité de genre semble un concept particulièrement immatériel et incohérent…
Des parallèles entre féminisme radical, écologie profonde et décolonialisme antiraciste (et pourquoi le queerisme est (intrinsèquement) incompatible avec la radicalité).
Lorsque Simone de Beauvoir écrivait « on ne naît pas femme, on le devient », elle décrivait la socialisation genrée comme un système de dressage par lequel la petite fille passe, bien souvent inconsciemment, pour correspondre, une fois adulte, aux attentes de la société patriarcale.
La puberté et le sexisme m’ont fait détester être une femme. Je me suis mise à désirer être un homme, pendant des années, au point de ne plus pouvoir m’imaginer autrement. Le féminisme ne m’a pas aidé ; il aurait dû.
Nous, ronces et racines indociles et joyeuses, nous réclamons des valeurs de la gauche. Néanmoins, nous observons de façon évidente une certaine incapacité de « la gauche » à accepter les nuances et les divergences sur certains sujets complexes.